Laurence de Charette: «Déficit public, la France semble épuisée avant l’effort»

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1. Luc Ferry: «Non, la France n’est pas libérale !»

   CHRONIQUE - Parler de néolibéralisme à propos de notre pays est d’un comique achevé quand on sait qu’il affiche 3250 milliards d’euros de dette et que nous avons passé depuis des lustres les 5 millions de fonctionnaires.

2. « Les taux des prêts aux ménages et aux entreprises risquent d’être supérieurs » : les banques françaises face à leur dégradation par Moody’s

   Sept établissements détenant beaucoup de dette française, dont BNP Paribas, Crédit mutuel et le Crédit agricole, font les frais de l’abaissement de la note de la France.

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   ANALYSE - Si le nouveau premier ministre a tenu à rappeler combien son souci de la dette était ancien, il devra faire preuve de pédagogie pour convaincre les Français et leurs députés de la nécessité d’assainir les comptes publics.

4. Après la dégradation par Moody’s, François Bayrou sous pression pour redresser les comptes

   RÉCIT - Le successeur de Michel Barnier devra ménager la chèvre et le chou pour parvenir à faire voter un budget, qui s’attaque résolument au dérapage des finances publiques.

5. Anne de Guigné : « Le cadeau de Moody’s à François Bayrou »

   CHRONIQUE - Il est urgent de réformer la sphère publique pour redresser les finances du pays. Moody’s devrait aider le premier ministre à convaincre les parlementaires de cette nécessité.

6. En abaissant par surprise la note de la France, ce qui est très rare, Moody’s lance un «avertissement» à Paris

   DÉCRYPTAGE - Que Moody’s abaisse la note de la France n’est pas surprenant en soi, étant donné l’explosion de la dette. Mais le calendrier choisi par l’agence de notation est loin d’être anodin.

7. Agences de notation : après sa dégradation par Moody’s, où la note de la France se situe-t-elle par rapport aux autres pays ?

   INFOGRAPHIES - La France, dont la note a été dégradée par Moody’s, conserve de très bonnes appréciations mais se trouve au bord d’un déclassement.

8. Entre Bayrou et la dette de la France, une longue histoire...

   Le patron du MoDem a longtemps fait des finances publiques une priorité. Le ton a toutefois un peu changé ces derniers mois.

9. Bertille Bayart : «Le coût exorbitant d’une majorité de non-censure»

   CHRONIQUE - Paradoxe : la censure votée au nom de la rupture va accoucher d’un nouvel «en même temps» budgétaire, autrement dit d’un «quoi qu’il en coûte».

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