DÉCRYPTAGE - Le chef de l’État a émis une nouvelle fois l’idée de consulter directement les Français. Mais il suscite le scepticisme jusque dans son propre camp, où aucune réflexion structurée n’est menée.
Eux aussi appelés à procéder à des nominations, les présidents du Sénat et de l’Assemblée, Gérard Larcher et Yaël Braun-Pivet, songent à Philippe Bas et Laurence Vichnievsky. Autant de candidatures qui seront soumises au Parlement le 19 février prochain.
Six mois de prison avec sursis et 1000 euros d’amende avaient été requis à l’encontre du député des quartiers nord de Marseille, suspecté d’avoir agressé un proviseur adjoint et une CPE à coups de pied lors d’un blocus lycéen.
REPORTAGE - Depuis treize ans, tour à tour, les quatre cités anciennes du désert de l’Adrar revivent une semaine. Un exploit dans ce pays menacé par l’activisme islamiste, les mercenaires de Wagner et les migrants subsahariens.
Alors que se préparait la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l'Afrique, la présence de l'ambassadeur de la République arabe sahraouie auprès de l'Union africaine, non invité, a provoqué une violente altercation.
ENTRETIEN - Dans une lettre adressée au roi du Maroc, Mohammed VI, le chef de l’État a affirmé que le plan du Maroc pour le Sahara occidental était la «seule base pour aboutir à une solution politique juste». L’historien du Maghreb contemporain décrypte cette décision.
GRAND RÉCIT - L'hôte de l'Élysée, qui est né bien après l'indépendance algérienne, a multiplié les gestes de bonne volonté pour bâtir une relation apaisée avec ce pays. En vain. La crise est désormais ouverte.
Jeudi 25 juillet, le ministère des Affaires étrangères algérien a exprimé dans un communiqué sa «profonde désapprobation» de la décision «inattendue, inopportune et contre-productive» de la France d'apporter son soutien au plan d'autonomie défendu par le Maroc pour le Sahara occidental.
L'insécurité de la région dissuade depuis des années les chercheurs d'étudier le chapelet de citadelles et de cités qui émaillent le nord-ouest du désert nigérien.
Le premier ministre espagnol avait opéré un revirement sur la question du Sahara occidental et de son indépendance en mars dernier. Au grand dam des Sahraouis et de l’Algérie.
DÉCRYPTAGE - En froid avec Madrid et à couteaux tirés avec Alger, Rabat, qui demeure sur ses gardes face à Paris, est obnubilé par le sort du Sahara occidental.