Visite du pape François en Corse : messages de bienvenue, rues décorées… L’île gagnée par la «papamania»
RÉCIT - Alors que le pape arrive en Corse ce dimanche, l’effervescence est palpable partout dans l’île.
RÉCIT - Alors que le pape arrive en Corse ce dimanche, l’effervescence est palpable partout dans l’île.
TRIBUNE - La venue du pape François en Corse ce dimanche 15 décembre est l’occasion de montrer au reste de la France qu’il peut exister une relation saine entre religiosité et espace public, estime le président du Conseil exécutif de Corse.
François, dont l’absence à la cérémonie de réouverture de Notre-Dame a fait beaucoup parler, aura un week-end bien rempli… au Vatican.
Réserver son hôtel, mais aussi son vol et ses activités sur une seule et même plateforme made in Corse : tel est le projet fou des acteurs du secteur touristique de l’île de Beauté. Un moyen de redorer le blason de la destination, dont l’essor touristique est en berne.
CONTRE-POINT - Le «non» du pape à sa présence pour la réouverture de Notre-Dame de Paris est compris comme un «non» à la France. Et à son président.
REPORTAGE - Alors que sur l’île neuf habitants sur dix se déclarent catholiques, l’annonce du déplacement du pape a déclenché une effusion de joie. Samedi, les cloches des églises ont sonné dans toutes les communes.
ENTRETIEN - L’archevêque d’Ajaccio explique l’enjeu de la visite de François, le 15 décembre à Ajaccio, que le Vatican vient d’annoncer officiellement. Un déplacement qui suscite l’incompréhension, alors que le pape a refusé de venir à Paris, le 8 décembre, pour la réouverture de Notre-Dame.
DÉCRYPTAGE - Une semaine après les cérémonies de réouverture de Notre-Dame, auxquelles il a refusé de participer, le pape se rendra en Corse pour un colloque sur la piété populaire, thème qui lui est particulièrement cher.
DÉCRYPTAGE - Le Vatican a plusieurs fois retardé l’annonce du déplacement de François sur l’île, faute d’invitation de la part d’Emmanuel Macron. La situation semblait s’être débloquée vendredi soir.
RÉCIT - L’usine remplacera une unité de production au fioul lourd et va réduire des deux tiers l’empreinte carbone par rapport à l’ancienne. Le chantier doit s’achever en 2027.