Intimité, consentement, discrimination de genre, puberté… Ce que contient le programme d’éducation affective et sexuelle

Le programme d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (Evars) avait été mis en suspens après la censure du gouvernement de Michel Barnier. Sa troisième et dernière version sera présentée devant le Conseil supérieur de l’éducation (CSE) mercredi 29 janvier. Cette instance, qui rassemble syndicats et associations de parents d’élèves, devra donc examiner le texte et rendre un avis consultatif.

« Cette éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité est absolument indispensable », a déclaré la ministre de l’Éducation Nationale sur France Inter. Avec ce texte « important », « je souhaitais qu’on puisse poser un cadre pour les enseignants », a encore déclaré Élisabeth Borne à l’issue d’une visite jeudi après-midi dans une classe de 6e d’un collège de Bordeaux. Ce programme – contre lequel la droite conservatrice et l’extrême droite ont mené campagne – devrait entrer en vigueur à la prochaine rentrée scolaire, en septembre 2025.

Intimité, puberté, consentement

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