Un an après la dissolution de l’Assemblée nationale, quand Macron pourrait-il à nouveau y recourir ?
Le dimanche 9 juin 2024, le président de la République annonçait dissoudre l’Assemblée nationale dans une allocution télévisée. La Constitution indique toutefois un délai bien particulier pour que le chef d’État puisse s’en saisir une nouvelle fois.
Guillaume Tabard : «Un an après la funeste dissolution»
CONTRE-POINT - Une année plus tard, le constat est terrible : la fonction présidentielle a été affaiblie sans que le rôle du Parlement soit revalorisé.
«Il faut être prêt dès cet été» : comment les partis se préparent déjà à une nouvelle dissolution
DÉCRYPTAGE - Prises de court en juin dernier par la décision présidentielle, les formations politiques quadrillent le terrain à la recherche de candidats, alors que le chef de l’État aura de nouveau les mains libres pour dissoudre à partir du 8 juillet.
À moins d’un an des municipales, les partis face à la grande crise des vocations
DÉCRYPTAGE - Dans un contexte de démissions et de burn-out en série chez les élus locaux, les partis se mettent tant bien que mal en ordre de marche.
Pour l’Élysée, «la clé est au PS»: les indiscrétions du Figaro Magazine
CHRONIQUE - Petites phrases et coulisses de la semaine politique.
Comment l’instabilité politique plombe, aussi, le marché français des fusions et acquisitions
DÉCRYPTAGE - Alors que les opérations financières ont rebondi dans le monde après deux années difficiles, la France fait exception avec un marché resté atone.
Avec la dissolution comme seul horizon probable : le règne de la politique du vide
LA MINUTE PHILO - Comment le passé pourrait-il encore être, à l’heure où toute histoire commune est constamment décriée, conspuée, effacée. Où chacun est donc prié de s’en émanciper, de s’en désaffilier.
Les partis de l’«arc républicain» pourront-ils vraiment s’interdire de censurer le gouvernement ?
CHRONIQUE - Pour élargir sa base parlementaire, Emmanuel Macron a proposé aux partis appartenant, selon lui, à l’«arc républicain» de signer un pacte de non-censure. Mais ce type de contrat peut s’avérer potentiellement dangereux en remettant en cause l’équilibre des pouvoirs.
Jean-Éric Schoettl : «Pourquoi la démission d’Emmanuel Macron ne serait pas un remède à la crise actuelle du politique»
TRIBUNE - Même en cas de départ du chef de l’État, le nouveau président élu ne bénéficierait pas d’une adhésion populaire majoritaire en raison de la profonde division du pays en trois blocs idéologiques, analyse l’ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel.
«Derrière l'absence de gouvernement et la menace de destitution, la déliquescence de la politique française»
FIGAROVOX/TRIBUNE - Plus d’un mois après la démission du gouvernement Attal, Emmanuel Macron n’a toujours pas nommé de premier ministre et le pays paraît résigné. Une situation qui en dit long sur le nihilisme dans lequel a sombré la vie publique nationale, analyse l’essayiste Maxime Tandonnet.