PORTRAIT - De passage à Paris pour parler de son dernier livre, le navigateur, qui capte aussi bien les pulsations du vent que celles de l’âme humaine, dévoile de plus en plus, derrière le verbe salé et l’humour corrosif, son désir de ne faire que « des choses jolies ».
La chanteuse iranienne a publié mercredi sur sa chaîne Youtube un concert d’une trentaine de minutes dans lequel elle apparaît dévoilée, dans une longue robe noire découvrant ses épaules. Une violation directe de la charia.
GRAND RÉCIT - Monument du patrimoine maritime, le Saga, plus grand submersible civil au monde, a été oublié pendant trente ans. En 2025, il pourrait être déplacé près du Mucem. D’ores et déjà, les curieux sont bienvenus à bord, avec, en bonus, une plongée virtuelle dans les calanques au milieu des épaves et des mérous.
CRITIQUE - Avec ce portrait haut en couleur de la comédienne, Guillaume Nicloux montre qu’il est un cinéaste éclectique. Et Sandrine Kiberlain une actrice talentueuse.
Pour Guillaume Nicloux, qui ne voyait qu’elle dans le costume, elle redonne vie à Sarah Bernhardt, la Divine, un rôle haut en couleur qui permet à l’actrice de libérer toute sa fantaisie et sa puissance de jeu. De quoi décrocher un prochain César ?
CRITIQUE - Après Bac Nord, le nouveau film de Cédric Jimenez met en scène Jean Dujardin et Sandrine Kiberlain en enquêteurs des attentats du Bataclan. Rythme haletant pour un récit criant de réalité.
RENCONTRE - Les années passent sans rien lui ôter de sa fraîcheur mais lui permettant d’enchaîner projets d’envergure et rôles de prestige. Ainsi dans le puissant film Novembre, de Cédric Jimenez, où elle incarne une chef de cellule antiterroriste au moment des attentats du Bataclan.
CRITIQUE - Dans ce marivaudage moderne et élégant, Sandrine Kiberlain et Vincent Macaigne forment un couple rohmérien rajeuni. Un film tout en pudeur d’Emmanuel Mouret.
Dévoilée mercredi, la bande-annonce du dernier film de Cédric Jimenez, avec Jean Dujardin nous replonge dans les attentats de Paris et la traque haletante des terroristes.
CRITIQUE - À la manière de Jacques Tati, Les frères Podalydès misent tout sur la douceur et la poésie dans un monde de brutes uberisé. Une savoureuse comédie sur deux hommes ringardisés par la société ultra-connectée. A ne pas manquer ce mardi 8 mars à 21h10 sur Canal + et sur MyCanal.