Cette révélation du Wall Street Journal intervient alors que le président américain, investi lundi, a menacé la Russie de nouvelles sanctions, mais promet de téléphoner à Vladimir Poutine.
Fuyant les flammes, des dizaines de milliers de personnes ont été forcées d’évacuer leurs maisons, contraintes de trouver refuge chez des proches, à l’hôtel ou dans des appartements en location. Mais certains établissements ont affiché des prix bien supérieurs à ceux d’avant le sinistre.
PORTRAIT - En classant les cartels mexicains parmi les organisations terroristes, Donald Trump s’aligne sur le combat de ce vétéran, élu du Texas, qui plaide pour plus de coopération diplomatique, mais aussi pour une démonstration de la puissance américaine comme moyen de dissuasion.
REPORTAGE - Les souvenirs du siège et des horreurs du régime de Bachar el-Assad hantent les habitants de la troisième ville de Syrie s’en revenant chez eux.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Si la chute du gouvernement de Bachar el-Assad fait naître des espoirs légitimes pour la Syrie, il y a des raisons de s’inquiéter quant à l’avenir des Kurdes, qui sont des opposants historiques à l’Etat islamique, alertent le député socialiste et l’ancien premier ministre.
REPORTAGE - Cette ville du nord de la Syrie, qui a vécu sept ans en vase clos, a vu son économie se développer sous la houlette du Hayat Tahrir al-Cham.
PORTRAIT - Installé au Liban depuis dix ans, ce Français dirige un millier de projets pour l’Œuvre d’Orient, qui irriguent le tissu social de toute la région. Avec le dessinateur Baudoin, il signe une BD sur la Syrie.
REPORTAGE - Derrière la joie des retrouvailles et l’unité proclamée à travers le pays, les divergences idéologiques entre les islamistes de Hayat Tahrir al-Cham et les autres groupes armés n’ont pas disparu.
Sur deux vidéos circulant sur les réseaux sociaux et authentifiées par le site Verify.sy, le ministre, ancien juge islamique de la région d’Idlib alors sous contrôle d’al-Nosra, supervisait la mise à mort de femmes accusées de «prostitution».
DÉCRYPTAGE - Face à la gronde populaire, le gouvernement mené par les islamistes de Hayat Tahrir al-Cham a renoncé à passer sa réforme, mais a maintenu quelques modifications du curriculum.