CHRONIQUE - Le sociologue Vincent Tiberj s’évertue sur 300 pages à réfuter la droitisation de notre pays. Selon lui, les Français seraient secrètement de gauche mais influencés par des discours politiques et médiatiques imposant certains thèmes dans le débat. Peu convaincant.
FIGAROVOX/CHRONIQUE - Audiovisuel public, ONGs, Arcom, Cour européenne des droits de l’homme… la bonne volonté du nouveau premier ministre risque d’être mise à mal par des contre-pouvoirs politisés et plus puissants que lui, analyse notre chroniqueur.
TRIBUNE - Le directeur de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie dresse un bilan comparatif des chiffres de l’immigration en Europe. Les migrants accueillis en France sont moins intégrés aussi bien culturellement que sur le marché du travail, souligne-t-il.
TRIBUNE - Le pays a besoin d’une politique cohérente et unifiée en matière d’immigration, pointe l’ancien préfet. Un ministère consacré à cette question permettrait également de faire porter la voix de la France à Bruxelles.
CHRONIQUE - Le sociologue Vincent Tiberj s’évertue sur 300 pages à réfuter la droitisation de notre pays. Selon lui, les Français seraient secrètement de gauche mais influencés par des discours politiques et médiatiques imposant certains thèmes dans le débat. Peu convaincant.
Pour le chef de file du groupe la Droite républicaine, la question des postes au gouvernement ne pourra pas s’engager avant la garantie de pouvoir conduire une «vraie politique de droite».
Dans une interview au Nouvel Obs, le député de la Somme se montre très critique de la stratégie insoumise visant à se concentrer sur la jeunesse et les quartiers.
RÉCIT - En quête d’une majorité pour gouverner, le premier ministre a tenu mardi sa première rencontre avec les parlementaires Renaissance, soucieux d’obtenir des garanties et tiraillés entre leurs différentes sensibilités.
DÉCRYPTAGE - Titulaire le plus âgé de la fonction, le cinquième premier ministre d’Emmanuel Macron a décroché son premier mandat sous la présidence de Georges Pompidou.
ENTRETIEN - L’eurodéputé, figure de l’aile gauche du camp Macron, estime que le choix d’une personnalité du NFP pour Matignon aurait été «le plus conforme au “front républicain”». Il pose des conditions à un gouvernement incluant Renaissance, soucieux de «juger sur pièces».
Dans son premier entretien accordé après la nomination de Michel Barnier à Matignon, le président du Sénat estime que le nouveau premier ministre de droite doit incarner l’intérêt supérieur du pays.