ENTRETIEN EXCLUSIF - Le patron de la filiale du géant américain de l’e-commerce estime qu’il pourrait aller plus vite dans le pays si les procédures étaient simplifiées et accélérées.
Avant même sa prise de fonction, le 20 janvier, le président élu américain a menacé de taxer à 25% les produits canadiens et mexicains, une décision justifiée selon lui par les crises liées aux opiacés et à l’immigration.
DÉCRYPTAGE - L’ex-dirigeant de Stellantis avait ébloui Fiat Chrysler avec une méthode qui garantissait des marges records. En moins de quatre ans, elle a essoré les équipes et multiplié les conflits.
Le patron du groupe Stellantis, son style et son assurance ne plaisaient guère aux milieux politiques et syndicaux italiens. Ils lui reprochaient notamment d’avoir réduit les effectifs dans les usines du pays et de ne pas s’engager sur l’avenir des sites de production.