Comme le long règne de Jean-Paul II, celui de François fut riche. Le nouveau pontife, à sa manière, visiblement plus sobre, devra prolonger l’élan impulsé. Le travail est immense.
REPORTAGE - Des milliers de personnes ont convergé vers le Vatican pour acclamer le nouveau souverain pontife jeudi soir.
RÉCIT - Lors de la très solennelle «messe pour l’élection du souverain pontife», avant l’entrée en conclave, le cardinal Battista Re a invité à prier pour que «soit élu le pape dont l’Église et l’humanité ont besoin en ce tournant si difficile, si complexe, si tourmenté de l’histoire».
Chaque jour, la rédaction Le Figaro Live vous partage les vidéos les plus marquantes pour suivre l’actualité ainsi que ses émissions quotidiennes, et ceci, en quelques clics seulement.
Alors que les médias italiens ne parlent que de Raniero Mancinelli qui s’est autoproclamé tailleur du successeur de François, le Vatican pourrait se contenter de ses «vieilles» soutanes. Explications.
L’élection du nouveau pape est traditionnellement signalée par la blancheur du panache sortant d’une cheminée au-dessus de la chapelle Sixtine. Mais avant l’utilisation de fumigènes dont la composition a été soigneusement choisie en 2005, la couleur des émanations était parfois ambiguë.
RÉCIT - De 1939 à 2013, sept papes ont été élus. Certains étaient « papabile », mais les élections de Jean-Paul II et de François n’étaient pas prévues.
Dans les heures qui viennent, les caméras et les téléobjectifs vont être braqués sur une petite cheminée qui concentrera toutes les attentions.
TRIBUNE - Comme tous ceux réunis depuis 1963, le conclave qui s’ouvre ce mercredi n’échappera pas aux secousses provoquées par le concile Vatican II selon l’historien.
Du XIIIe au XXe siècle, les élections des papes ne se sont pas toujours déroulées sans heurts... ou sans quelques entorses audacieuses aux règles définies.