Qui a dit qu’il était impossible d’obtenir des progrès écologiques et d’enrayer des blessures infligées à la planète ? « Aujourd’hui, la couche d’ozone guérit », s’est réjoui mardi le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres.
Le rapport des Nations unies indique d’ailleurs que cette barrière protectrice qui filtre les ultraviolets devrait se reconstituer pleinement « d’ici au milieu de ce siècle ». Une très bonne nouvelle à la fois concernant la lutte contre les cancers de la peau et le combat contre le réchauffement climatique, puisque le trou dans la couche d’ozone contribue à concentrer des gaz à effet de serre en basse atmosphère.
« Cette avancée nous rappelle que lorsque les nations tiennent compte des avertissements de la science, des progrès sont possibles », a souligné Antonio Guterres. Le protocole de Montréal, signé en 1987, a en effet permis d’éliminer plus de 99 % des chlorofluorocarbones, produits qui appauvrissaient la couche d’ozone. Preuve qu’une coordination internationale et des mesures drastiques sont possibles.
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