EXCLUSIF - Dans son ouvrage Journal de la fin de vie (Fayard), la médecin en soins palliatifs à Narbonne raconte ses allers-retours entre les patients et le monde politique, au moment où le gouvernement souhaitait légaliser la mort provoquée.
CHRONIQUE - Chaque semaine, pour LeFigaro, notre chroniqueur pose son regard ironique sur l’actualité. Aujourd’hui, il imagine une petite histoire du combat mené contre les fake news depuis le XVIe siècle.
CHRONIQUE - Dans Il n’y a pas de race blanche (Grasset), le démographe rappelle le bêtisier des théories raciales scientifiques du XIXe siècle. Mais c’est pour mieux réfuter l’existence d’un racisme antiblanc ou d’un quelconque problème d’immigration. Un art subtil du déni.
DÉCRYPTAGE - Première du genre, l’étude de l’Institut pour la justice sur les peines prononcées, que Le Figaro Magazine révèle en exclusivité, prouve que la prison ferme est une sanction plus virtuelle que réelle.
LE BLOC-NOTES - Pour défendre réellement la liberté d’expression, la classe politique doit s’atteler à redonner un cap à l’école, seule capable de doter les futurs citoyens d’un esprit critique.
DÉCRYPTAGE - Le garde des Sceaux a demandé une liste de 100 noms pour mettre fin aux trafics et aux assassinats à distance. Avec l’aide de la police et des services de renseignements, l’administration pénitentiaire sélectionne les «têtes d’affiche».
Le nouveau garde des Sceaux a déclaré jeudi soir, au 20h de TF1, vouloir revoir construire des centres spécialement adaptés aux courtes peines qui permettent de meilleures rotations, détaille son cabinet au Figaro.
Quarante ans après les avoir jetées aux oubliettes, le nouveau ministre de la Justice veut les réinstaurer. Leur avantage : rompre avec le sentiment d’impunité des Français ; leur défaut : une réorganisation lourde qui concerne l’ensemble de la justice.
La mère de la jeune fille, elle aussi britannique, a porté plainte contre l’adolescent après avoir appris qu’ils avaient eu une relation durant les vacances d’été.
L’homme âgé de 55 ans se faisait passer pour un adolescent sur les réseaux sociaux pour obtenir des photos intimes de jeunes filles. La plus jeune d’entre elles n’avait que 8 ans.
L’homme de 68 ans a ensuite incinéré le corps sans vie de son enfant handicapé. Il s’est lui-même rendu à la police en affirmant que son acte n’était qu’un accident.