L’éditorial de Gaëtan de Capèle : «Entreprises françaises, tous aux abris !»
Privée de budget et de gouvernement, la France donne l’effet d’un bateau ivre, sans cap ni gouvernail.
Privée de budget et de gouvernement, la France donne l’effet d’un bateau ivre, sans cap ni gouvernail.
Pendant que les responsables politiques offrent un spectacle pitoyable, mélange d’immobilisme, d’incompétence, d’impuissance, la France n’en finit pas de se criminaliser.
Plus que jamais, la Syrie reste une poudrière. Et l’Europe est payée pour savoir que l’immigration et le terrorisme sont directement indexés sur les événements de cette région.
L’ÉDITORIAL DU FIGARO -Entre son passé de djihadiste furieux et ses professions de foi récentes de sauveur de la nation, Ahmed al-Chareh, le nouvel homme fort de Damas, présente les deux faces d’un Janus.
Par-delà la déchristianisation de la France et la désertion des églises, par-delà les querelles politiques ou politiciennes, la renaissance de Notre-Dame suscite l’enthousiasme.
La gloire terrestre de la cathédrale était grande, il lui manquait le martyre symbolique qu’elle a connu par les flammes. Elle est désormais un écrin à la mesure du Dieu pour qui elle a été érigée : morte et ressuscitée.
Bien davantage que l’état effrayant de nos finances publiques, c’est le président, ses choix, son attitude et son sort, qui sont au cœur du débat.
Cette journée de censure nous a fait voir dans une unité de temps, de lieu et d’action, la tragédie d’une vie politique qui s’effondre sur elle-même.
Le Rassemblement national associe ses voix à celles du Nouveau Front populaire pour faire chuter Michel Barnier. Quel peu glorieux mariage !
La patronne du RN en voulait toujours plus, au risque de gâcher sa victoire, et va plonger le pays dans la grande inconnue politique et financière.