JO 2024: l’exécutif surveille les couacs du métro

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La ligne 4 du métro parisien à l’arrêt Montparnasse-Bienvenüe, le lundi 20 novembre. Quentin De Groeve / Hans Lucas via reuters Connect

ANALYSE - Paris 2024 a besoin de lignes robustes pour convoyer les spectateurs. L’objectif est d’atteindre le «100% transports en commun».

Des pistes cyclables sur quasiment tous les sites olympiques même pour faire Paris-Saint-Quentin-en-Yvelines, où se déroule la compétition de golf. Peut-être des bateaux à hydrogène sur la Seine. Huit cents taxis supplémentaires équipés pour convoyer des handicapés. Paris 2024, qui organise cet événement planétaire, et Clément Beaune, ministre des Transports, vantent les initiatives déployées l’été prochain qui permettront de se rendre plus facilement aux épreuves.

Mais ils savent bien qu’in fine ils seront jugés sur leur capacité à tenir le pari de faire des Jeux olympiques où tous les spectateurs viennent sans encombre en transports en commun. C’est bien la raison pour laquelle Clément Beaune a animé mardi après-midi le neuvième comité stratégique des mobilités en vue du grand rendez-vous estival. Car il s’agit d’un énorme défi: «Ce sont les premiers JO 100% transports en commun et les premiers avec autant de sites à desservir», souligne Laurent Probst, directeur général d’Île-de-France…

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