«Ne reculez pas» : 150 entreprises exhortent l’UE à maintenir son objectif de 100% de voitures électriques en 2035

Sur le même thème

1. Un an après, «seulement 10 %» du rapport Draghi, qui devait réveiller l’Europe, a été appliqué

   DÉCRYPTAGE - L’ancien premier ministre italien Mario Draghi dressait un constat sévère sur le décrochage du Vieux Continent. Assorti de recommandations. La guerre commerciale de Donald Trump a perturbé l’agenda européen des Vingt-Sept, qui, en outre, restent divisés.

2. Accord UE-Mercosur : le RN et LFI veulent renverser Ursula von der Leyen

   Remontés contre la ratification du traité controversé de libre-échange, les nationalistes et les mélenchonistes veulent censurer la présidente de la Commission.

3. Combien rapporterait une baisse de la contribution française à l’UE, réclamée par Marine Le Pen ?

   DÉCRYPTAGE - En réponse aux critiques du Rassemblement national, François Bayrou a défendu dimanche les versements de Paris au budget de l’Union européenne, attendus en forte hausse en 2026. Et ce, alors que la France est déjà l’un des plus gros contributeurs nets.

4. Thierry Breton : «Face aux nouvelles menaces de Donald Trump, l’Union européenne ne peut plus accepter la soumission»

   TRIBUNE - Considérant que les réglementations européennes comme le DSA (Digital Services Act) entravent les entreprises américaines de la tech, Donald Trump a menacé d’imposer de nouveaux droits de douane. L’attaque de trop, estime l’ancien commissaire européen en charge du Marché intérieur et du Numérique.

5. Face à Donald Trump, l’Europe politique s’avère aussi fragile que l’Europe militaire

   CHRONIQUE - Le retour des leaders européens après leur entretien avec le président américain révèle leurs faiblesses et leur désunion.

6. Donald Trump menace l’Europe de sanctions pour défendre ses Big Tech

   DÉCRYPTAGE - Les États-Unis ont dans leur viseur les deux grands règlements européens qui encadrent les pratiques des grandes sociétés technologiques.

7. Renaud Girard : «L’urgence de résister à l’arrogance américaine»

   CHRONIQUE - À la différence du premier ministre canadien, Mark Carney, Ursula von der Leyen a choisi l’attitude de la soumission face à Trump, et cela n’a strictement rien apporté de positif à l’Union européenne.

8. Ursula von der Leyen : «Avec les États-Unis, l’Union européenne a conclu un accord solide, bien qu’imparfait»

   TRIBUNE - Le 21 août, les États-Unis et l’Union européenne ont adopté une déclaration commune sur le commerce et les investissements transatlantiques. L’occasion pour la présidente de la Commission européenne de défendre l’accord conclu avec Donald Trump et les gages de stabilité qu’il offre à l’Europe.

9. Mathieu Bock-Côté : «L’empereur américain et ses vassaux»

   CHRONIQUE - Lundi dernier, à Washington, Trump a reçu les dirigeants européens comme des féodaux d’outre-Atlantique dépassés par la renaissance des empires prédateurs.

10. L’Europe, docile eldorado du vieux rêve mondialiste de George Soros

    Après ses revers en Chine, c’est finalement en Europe que George Soros trouve un terreau favorable à son idéal d’une société libérale, postnationale et multiculturelle. Il y défend l’accueil inconditionnel des réfugiés et le communautarisme musulman.