Lula a averti lundi 8 janvier qu'«il n'y a pas de pardon pour qui attente à la démocratie», au premier anniversaire des émeutes de Brasilia, qui avaient vu des milliers de sympathisants d'extrême droite attaquer les sièges des institutions.
«Toux ceux qui ont financé, planifié et exécuté une tentative de coup d'État doivent être punis de façon exemplaire», a déclaré le président brésilien lors d'une cérémonie au Parlement. «Il n'y a pas de pardon pour qui attente à la démocratie, à son pays et à son propre peuple», a-t-il ajouté.