Deux ans après ChatGPT, les «agents IA» sont la nouvelle étape de la révolution de l’intelligence artificielle

ENQUÊTE - Si tout le monde s’accorde sur la magnitude du bouleversement induit par cette technologie, leur diffusion dans les entreprises se frotte au principe de réalité et est beaucoup plus lente que ce que «l’effet Spoutnik» ne le laissait penser il y a deux ans.

ENQUÊTE - Les progrès de l’IA générative accélèrent le nombre de cas d’usage. De la distribution à la santé en passant par l’automobile, tous les secteurs planchent sur la commande vocale.

DÉCRYPTAGE - OpenAI comme Google ont restreint les réponses de leurs agents conversationnels afin qu’ils ne dérapent pas dans leurs réponses fournies aux électeurs.

DÉCRYPTAGE - Une mère de famille américaine vient de porter plainte contre la start-up Character.ai après le décès de son fils. Associations et chercheurs réclament des garde-fous pour protéger mineurs et personnes vulnérables contre ces chatbots qui brouillent réel et virtuel.

CHRONIQUE - Penser que des IA peuvent être dotées d’une conscience et d’une morale propres, comme l’avancent certains chercheurs, relève d’une croyance surnaturelle sans fondement.

CHRONIQUE - À vrai dire, ChatGPT est capable d’écrire une histoire mais elle n’est ni passionnante ni hilarante.

ENQUÊTE - Alors que la menace réglementaire se durcit, le géant de la tech est aussi confronté à la montée en puissance des réseaux sociaux et des assistants conversationnels qui bouleversent la recherche en ligne, le poumon de son activité.

FIGAROVOX/CHRONIQUE -  Selon Reuters, la société ayant enfanté le robot conversationnel ChatGPT chercherait à se transformer en une organisation à but lucratif. Pour notre chroniqueuse, cette annonce est révélatrice : la recherche et le développement en IA a besoin de fonds.

Réseaux sociaux, lunettes connectées, casque de réalité mixte… Le groupe californien veut se hisser au niveau de Google, Microsoft et OpenAI.

FIGAROVOX/CHRONIQUE - D’après une étude publiée par l’université de Chicago en mai 2024, les femmes utiliseraient moins ChatGPT que les hommes. Pour notre chroniqueuse, nombre d’entre elles auraient le syndrome de la bonne élève.