LFI rêve de transformer le référendum en plébiscite anti-Macron
Même si le recours à la consultation populaire évoqué lors des vœux présidentiels reste très hypothétique, les Insoumis considèrent qu’une victoire du non pousserait irrémédiablement Emmanuel Macron à la démission.
En 2025, Jean-Luc Mélenchon fait le pari de faire plier Emmanuel Macron
DÉCRYPTAGE - Actant la fragilité de son socle à l’Assemblée nationale, le chef des Insoumis considère que le président n’aura d’autre choix que de démissionner. Il se prépare donc à une élection présidentielle anticipée.
«Fin de l’école buissonnière» : après l’échec des négociations avec Bayrou, LFI se moque de ses alliés du NFP
Jean-Luc Mélenchon et les siens comptent désormais mettre la pression sur leurs alliés pour renverser le nouveau premier ministre dès le mois de janvier, et précipiter, espèrent-ils, une élection présidentielle.
«J’en ai déjà la larme à l’œil»: entre Hollande et Mélenchon, le rêve du match retour
RÉCIT - L’ancien président socialiste comme le chef des Insoumis font le pari du retour des deux gauches irréconciliables pour s’imposer à la prochaine présidentielle. Et font tout pour crédibiliser ce nouveau mano a mano.
«Gabriel Attal, c’est Pac-Man, il avance et bouffe tout ce qu’il a devant lui»: les indiscrétions du Figaro Magazine
CHRONIQUE - Petites phrases et coulisses de la semaine politique, retrouvez les indiscrétions du Figaro Magazine.
Guillaume Tabard : «À gauche, véritable divorce ou simple scène de famille ?»
CONTRE-POINT - Comme en atteste la dureté des reproches mutuels entre différents courants, le divorce de la gauche semble consommé.
«Il faut se préparer et agir vite» : Jean-Luc Mélenchon anticipe déjà une présidentielle
Le chef de LFI se réjouit que les appels à la démission du président s’étendent au-delà des rangs Insoumis, y compris «dans sa majorité», assure-t-il.
Avant la rencontre avec Macron, Jean-Luc Mélenchon étrille ses partenaires du NFP
Lors d’un meeting à Redon, le chef des Insoumis a assuré que la consultation d’Emmanuel Macron «n’aboutira pas» et dit «avoir l’espoir» que le reste de la gauche n’aura «pas la bêtise d’entrer au gouvernement».
L’hypothèse d’un accord de non-censure sème la zizanie à gauche
DÉCRYPTAGE - Reçus vendredi à l’Élysée, les responsables socialistes ont fait savoir qu’ils refuseraient de participer à un gouvernement avec un premier ministre de droite, mais ne le censureraient pas automatiquement.
L’éditorial d’Yves Thréard - « Mélenchon-Le Pen : la carpe et le lapin »
Le Rassemblement national associe ses voix à celles du Nouveau Front populaire pour faire chuter Michel Barnier. Quel peu glorieux mariage !