EXCLUSIF - À quelques jours d’un vote de confiance décisif pour François Bayrou, une étude Ifop-Fiducial pour Le Figaro fournit de nouvelles intentions de vote dans l’hypothèse où les Français seraient appelés aux urnes.
Selon une enquête réalisée jeudi et vendredi, le Rassemblement national serait largement en tête au premier tour d’élections législatives anticipées, avec 31% des voix.
Invité lundi soir de France 5, l’ancien président de la République et député socialiste a dit «récuser la méthode et le contenu du plan» budgétaire du premier ministre.
LA BATAILLE DES IDÉES - Jean-François Copé, David Lisnard ou encore Valérie Pécresse appellent à la démission du chef de l’État, tandis que Bruno Retailleau redoute un dangereux précédent… En 1969, après un référendum perdu, le général de Gaulle avait lui-même quitté l’Élysée.
TRIBUNE- Alors que le premier ministre pourrait bien tomber le 8 septembre prochain, l’historien* réfléchit aux différents scénarios pour la suite. Si la dissolution de l’Assemblée nationale comme la démission du président sont envisageables, une soudaine volonté de retour à l’ordre pourrait également advenir.
RÉCIT - À quelques jours de la chute annoncée de François Bayrou, le ministre de l’Intérieur, et nouvel homme fort de la droite, avance dans l’incertitude.
RÉCIT - Depuis la dissolution, les Français sont ballottés par d’intenses soubresauts politiques. Lassitude, épuisement, impression de ne pas être écoutés… Beaucoup redoutent une nouvelle période de turbulences à l’issue du vote de confiance le 8 septembre.
TRIBUNE - Entre la probable démission de son premier ministre, la marginalisation de la France sur la scène internationale et l’aggravation de l’instabilité économique du pays, le bilan estival du président de la République est bien terne, jugent le banquier d’affaires* et l’essayiste**.
DÉCRYPTAGE - Même si la coopération sur l’Ukraine se révèle exemplaire, les difficultés du gouvernement Bayrou assombrissent les retrouvailles entre Paris et Berlin.
DÉCRYPTAGE - Le président de la République a eu beau profiter du Conseil des ministres de rentrée, mercredi, pour soutenir le chef du gouvernement, il anticipe toutefois la censure du 8 septembre et prépare déjà la suite.