L’éditorial d’Yves Thréard: «La nouvelle économie du crime de la DZ Mafia»
Leur modèle, proche du cartel sud-américain, ouvert sur le marché, fonctionne comme une franchise ou un système ubérisé.
Leur modèle, proche du cartel sud-américain, ouvert sur le marché, fonctionne comme une franchise ou un système ubérisé.
La brève rencontre avec le président ukrainien à la basilique Saint-Pierre et le sentiment de se faire « balader » par Poutine semblent avoir quelque peu infléchi le président américain.
Le trafic, la drogue et le crime organisé n’ont pas attendu notre temps pour semer la mort, mais il faut être Pangloss pour ne pas voir que nous ne cessons de franchir des seuils..
Ses détracteurs dénoncent une Maison-Blanche transformée en cour de Néron, une Administration où chacun rivalise de servilité pour s’attirer les grâces de l’empereur.
Dans une atmosphère mêlant les procédures et le sacré, une centaine d’hommes se préparent au grand choix et tiennent dans leurs mains le prochain visage de l’Église catholique.
Le choix offert par le président américain à son homologue ukrainien se résume à deux formes de reddition : la paix à ses conditions, qui sont celles du Kremlin, ou « la perte de son pays » d’ici trois ans.
Le ralentissement économique, la pression des marchés, et la détermination de la Chine poussent la Maison-Blanche à la désescalade sur le front commercial.
Le souverain pontife restera comme un pape humain, défenseur sans frontières des pauvres et des exclus, mais souvent dépassé par les complexités du monde.
Le président s’envole pour l’océan Indien, entre affirmation géopolitique et crise profonde des territoires ultramarins.
Un proche, une collègue, un prêtre leur a montré, par le simple ministère de l’amitié, le visage d’une foi vivante. Ils seront 17.000, samedi, au cours de la veillée pascale, à entrer pleinement dans l’Église catholique.