RÉCIT - Le professeur de mathématiques d’un lycée de Corbeil-Essonnes indique avoir reçu des coups de poing par un élève à qui il demandait de retirer sa casquette. Le proviseur n’a pas soutenu l’enseignant.
REPORTAGE - Sur une rocade parisienne déjà saturée, les conducteurs qui sont seuls dans leur véhicule ne peuvent plus circuler sur la voie de gauche aux heures de pointe depuis lundi. De quoi inquiéter les 1,2 million d’usagers qui empruntent le périph’ chaque jour.
Selon Le Parisien, plusieurs propriétaires de véhicules garés près d’Orly ont eu la mauvaise surprise de voir de gros écarts au niveau du kilométrage et de découvrir des rayures ou autres dégâts sur la carrosserie ou dans l’habitacle.
Depuis des années, il amusait la galerie en édictant solennellement à la télévision et à la radio où étaient le Bien et le Mal. Mais en accusant la France d’avoir commis en Algérie des « centaines d’Oradour-sur-Glane », le journaliste aux airs de « père la morale » a franchi une limite.
Chaque jour, la rédaction Le Figaro Live vous partage les vidéos les plus marquantes pour suivre l’actualité ainsi que ses émissions quotidiennes, et ceci, en quelques clics seulement.
INTERVIEW EXCLUSIVE - Bras de fer avec l’Algérie, retraites, réforme de l’État… Le premier ministre précise sa feuille de route et appelle les oppositions à la « responsabilité », sans quoi « le pays ira vers des accidents majeurs ».
Au lendemain de l’ultimatum posé par le gouvernement français à Alger, menaçant de remettre en cause l’accord de 1968 sur les visas, la plupart des Franco-algériens interrogés par Le Figaro déplorent des tensions «entre politiciens» liées, selon eux, à des voix de l’«extrême-droite».
ENTRETIEN - Sur RTL, Jean-Michel Aphatie a estimé que l’État français a commis en Algérie des «centaines» de massacres comme celui d’Oradour-sur-Glane. Sans nier les exactions commises, cette comparaison n’est pas pertinente, explique l’historien spécialiste du Maghreb.
DÉCRYPTAGE - À la suite d’un comité interministériel sur l’immigration, François Bayrou veut réexaminer ces accords pendant «un mois, six semaines». En cas d’insatisfaction, ils seraient dénoncés, mais la tâche n’est pas évidente juridiquement.
La venue temporaire d’imams en France pendant le Ramadan existe depuis une trentaine d’années. L’encadrement de cette pratique, issue d’accords bilatéraux avec le Maghreb, reste très flou.