Le palmarès du Figaro des meilleurs vins rosés de l’été 2025, de 8 à 60 euros

Depuis les rivages tropéziens jusqu’aux hauteurs du Haut-Var en passant par les gorges escarpées de la Provence verte, des vignerons engagés font le choix d’une production ultra-sélective et minimaliste destinée aux marchés de niches.

Sur l’île de Porquerolles, le domaine de La Courtade travaille dans une démarche d’autarcie respectueuse de l’environnement naturel. Des pratiques que les équipes ont à cœur de faire découvrir aux visiteurs.

Au milieu d’une Provence dynamique, le château d’Estoublon tente de se démarquer avec deux cuvées de rosé et un accueil œnotouristique de haut vol.

Depuis le début des années 1970, les vins rosés de cette propriété mythique de Bandol sont célébrés aux États-Unis. Récit d’un coup de foudre entre un vignoble provençal et une Amérique éprise d’esthétisme.

Depuis son rachat par LVMH en 2019, Château Galoupet se positionne comme le référent du groupe en matière d’écoresponsabilité viticole en Provence. Directrice générale du grand cru classé en Côtes de Provence, Nadine Fau explique ce défi au «Figaro».

En produisant des vins rosés qui ne cèdent pas aux modes gustatives en vigueur, Château Léoube se distingue.

Sur l’île de Porquerolles, la maison Chanel se distingue par sa volonté de poursuivre une viticulture cousue main déclinée en très petits volumes.

Certains producteurs de rosés se mettent au diapason pour casser certains stéréotypes liés à ce vin. En 2020, l’Association internationale des rosés de terroirs (AIRT) a même été créée.

En perpétuelle recherche d’innovation, Gérard Bertrand n’est pas avare en nouveautés. Parmi elles, voici un pétillant naturel rosé qui annonce l’été.

Le vin rosé, habituellement associé à l’été, s’impose aujourd’hui dès le printemps. Avec des températures plus douces et des week-ends prolongés, sa consommation connaît un pic dès cette saison, une période clé pour les producteurs.