LA VÉRIFICATION - Le président français a estimé mardi soir sur TF1 que l’économie américaine «ne march[ait] pas» depuis l’investiture de son homologue américain en début d’année. À raison ?
RÉCIT - Le Complot Da Vinci de Yuri Felshtinsky, retrace méticuleusement le parcours du tableau le plus cher du monde : Salvator Mundi. Une enquête méthodique qui étudie la manière dont cette toile permettrait à Vladimir Poutine de faire pression sur le président américain.
Le délégué général du festival a déclaré lors d’une conférence de presse lundi matin que « l’idée que le cinéma américain soit pénalisé par les pays étrangers mérite d’être discutée ».
FIGAROVOX - For the past month, Donald Trump’s seemingly erratic tariff decisions have been presented by his supporters as part of a long-term trade strategy. According to former lawyer Charles Haroche, the devotion of MAGA followers to the American president is comparable to that of the Comintern to Mao.
CHRONIQUE - N’en déplaise à bon nombre de commentateurs, Trump n’est pas fou. C’est un dirigeant pragmatique, avec sa méthode. Elle consiste, dans une discussion, diplomatique ou commerciale, à demander gros, pour ensuite négocier. La Chine peut en témoigner.
ANALYSE - Le premier déplacement du président américain vise à engranger les « deals », mais aussi à resserrer les liens étroits entre son Administration et les monarchies du Golfe.
DÉCRYPTAGE - Le président américain montre des signes d’impatience envers Benyamin Netanyahou et enchaîne les décisions défavorables à son encontre.
Courageux mais pas téméraire, lors d’une conférence de presse à Séoul, l’acteur américain a préféré esquiver une question sur la politique douanière du président américain.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Joseph Nye, théoricien de la notion de soft power, est décédé le 6 mai dernier. Le professeur de géopolitique Philippe Le Corre, qui l’a côtoyé à Harvard, rend hommage à cet homme dont les travaux ont considérablement éclairé les relations internationales.
Fuyant une économie en berne et des persécutions qu’ils dénoncent depuis longtemps, ces Sud-Africains ont bénéficié d’un traitement hors-norme grâce à un décret signé en février dernier par le président Trump qui s’intéresse à eux depuis 2018.