Les deux premiers films, sortis en 2014 et 2017, ont été d'énormes succès au box-office, avec plus de 500 millions de dollars de recettes dans le monde. En France, ce troisième volet sortira le 5 février 2025.
L'apparente désinvolture de son jeu et la rapidité de sa réalisation pourraient donner de Clint Eastwood une image de cinéaste dilettante. Il est en réalité l'un des derniers grands classiques.
Jusqu’à présent Warner Bros a refusé d'adapter la franchise pour le cinéma, même si le romancier et les scénaristes de la série ont déjà discuté de potentiels longs-métrages autour de l'univers de Westeros.
CRITIQUE - Deux ans après « Chronique d’une liaison passagère », Emmanuel Mouret met en scène trois femmes bousculées par leurs amours. Un film drôle, délicat et très français.
CRITIQUE - La star australo-américaine soigne sa frustration sexuelle avec un stagiaire dans Babygirl tandis que l’actrice française découvre la passion amoureuse dans le superbe Trois amies, d’Emmanuel Mouret.
Un adultère des temps modernes, une comédie policière inspirée d'une œuvre d'Agatha Christie... Que faut-il voir cette semaine? Découvrez la sélection cinéma du Figaro.
CRITIQUE - Dans ce marivaudage moderne et élégant, Sandrine Kiberlain et Vincent Macaigne forment un couple rohmérien rajeuni. Un film tout en pudeur d’Emmanuel Mouret.
Été 85 et Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait partaient pourtant parmi les grands favoris de cette 46e édition. Les votants de l’Académie en ont décidé autrement.
La satire d’Albert Dupontel a remporté les trophées majeurs de la soirée dont meilleur film, meilleure réalisation et meilleur scénario. Seulement un prix pour le marivaudage d’Emmanuel Mouret aux 13 nominations et zéro pour François Ozon.
Meilleur film ou scénario, acteurs et actrices consacrés… Quelques heures avant la grand-messe du cinéma français (à laquelle il manquera beaucoup de fidèles), nos critiques livrent leurs favoris de cette 46e nuit du cinéma français.
DÉCRYPTAGE - Les Choses qu’on dit, les choses qu’ont fait, Été 85 et Adieu les cons partent favoris d’une cérémonie placée sous le signe du renouveau obligatoire. Il faudra faire oublier le traumatisme Polanski et redonner l’espoir à un secteur qui n’a pas l’esprit à la fête.