Deux champions de la mode masculine ont ouvert la Fashion Week de l’été 2026 à Paris, ce mardi. Premier rang, inspiration, scénographie… Notre verdict.
Avec l’engouement pour les défilés, notamment sur les réseaux sociaux, de nouvelles voix s’élèvent et commentent les collections, mettant au défi la presse institutionnelle : plus le ton est cinglant, plus l’avis est clivant, plus le compte rendu est lu/vu.
Chez Saint Laurent, la couleur saturée et la ligne claire d’Anthony Vaccarello illuminent l’hiver quand The Row défile pieds nus loin des réseaux sociaux.
La Fashion Week de Paris pour l’hiver prochain s’achève en apothéose avec les collections de Louis Vuitton, Chanel et Miu Miu.
La diva américaine a fait sensation avec ses maquillages spectaculaires tout au long de la semaine des défilés de Paris.
L’Américaine Emily Adams Bode Aujla et son mari Aaron ont choisi la France pour ouvrir leur première boutique en Europe. Au Palais-Royal, rue de Valois. À voir !
Hier, le Hollandais s’est distingué grâce à sa mode virtuose teintée d’humour. De même pour les Français, Sébastien Meyer et Arnaud Vaillant, grâce leur sens du show à destination de la Gen Z.
C’est désormais une tradition d’ouvrir la semaine des collections de Paris avec le défilé des diplômés de l’IFM (Institut Français de la Mode), l’édifice vert pomme accrochée au quai d’Austerlitz.
Les drôles de perfectos de Junya Watanabe, les accumulations de Comme des Garçons, les expérimentations de Satoshi Kondo chez Issey Miyake et les peluches de Jun Takahashi d’Undercover.
Sean McGirr sur la bonne voie chez McQueen, Joshua Bullen fait vibrer Kenzo à nouveau, en matière de mode, le patrimoine n’est pas toujours un cadeau.