«Le Parquet national antiterroriste s’est saisi et il dispose des moyens pour élucider ces attaques. Ces gens-là, où qu’ils se trouvent, nous les trouverons», a expliqué le ministre de l’Intérieur.
DÉCRYPTAGE - Il s’agirait de l’acronyme de «Droit des Prisonniers Français». Un groupe de discussion Telegram portant ce sigle a été créé, sur lequel circulent le nom d’un surveillant pénitentiaire et des messages appelant à s’en prendre à ceux qui «abusent de leur pouvoir».
Le rapport d’autopsie de la première victime conclut à «un syndrome asphyxique dans un milieu appauvri en oxygène», a précisé le parquet, ce qui accrédite l’hypothèse d’une fuite d’azote dans la cabine de cryothérapie.