CARTES - Ces derniers jours, les forces russes ont avancé rapidement entre Pokrovsk et Kostiantynivka, créant un dangereux saillant que les Ukrainiens peinent à résorber. La crainte d’«une grande offensive» resurgit.
Le président américain a demandé ce mercredi au président syrien par intérim Ahmed al-Charaa de «rejoindre les accords d’Abraham», c’est-à-dire de normaliser la relation avec Israël, et d’expulser «les terroristes palestiniens».
Grand favori de l’élection présidentielle en Roumanie dont le second tour a lieu ce week-end, le candidat a conclu à Paris ce vendredi une tournée européenne. Il s’est défendu d’être prorusse et a exprimé son souhait de renforcer la coopération avec l’Otan, tout en dénonçant les ingérences européennes.
L’arbitre n’est autre que Donald Trump, pour lequel seul compte le résultat et peu importe la méthode. Ce président-homme d’affaires cherche en toutes circonstances qui peut apporter une solution à ses problèmes.
ANALYSE - L’issue des premières négociations directes entre Russes et Ukrainiens depuis le début de la guerre, prévues jeudi à Istanbul, reste incertaine.
RÉCIT - Le président ukrainien se rend à Istanbul, tandis que le Kremlin a dévoilé sa délégation, sans le nom du président russe. Trump ne participera pas non plus.
REPORTAGE - Depuis juillet 2024, quelque 23.500 attaques d’engins pilotés par l’armée russe ont été recensées dans cette ville ukrainienne sur la rive occidentale du Dniepr.
DÉCRYPTAGE - Les Vingt-Sept menacent Vladimir Poutine de mesures « dévastatrices ». Mais s’ils ont maintenu la pression, ils n’ont encore reçu aucune proposition de la Commission pour aller plus loin.
Après avoir invité Volodymyr Zelensky à intervenir en direct depuis Kiev lors de l’ouverture de la 75e édition, en 2022, la manifestation cannoise montre que le conflit russo-ukrainien reste au cœur de ses préoccupations, trois ans après le début de la guerre.
DÉCRYPTAGE - À l’époque, déjà, une rencontre entre les présidents russe et ukrainien avait été évoquée. Le président turc parie sur une nouvelle négociation directe, encore incertaine, entre les deux ennemis.
ANALYSE - Après la visite des dirigeants français, allemand, britannique et polonais à Volodymyr Zelensky, les Européens veulent peser dans de possibles négociations entre les deux belligérants.