Son retour en forme : «Je suis un peu mieux , je me sens de mieux en mieux. Je suis parti avec les Espoirs pour prendre de la confiance, toucher des ballons. Ça m’a fait du bien. Il faut continuer sur la même lancée, la même dynamique.
Le rôle de Luis Enrique durant sa période plus compliquée : «Avec moi et tous les joueurs, les jeunes ou les cadres, il essaie de tirer la meilleure version de tout le monde. Quand on est un peu dans le mal, il donne des conseils, il parle, c’est formidable pour tout le monde d’avoir un coach comme ça, qui essaie de donner le plus de confiance possible. Ça m’a beaucoup aidé. Je pense aussi aux coéquipiers qui m’ont donné des conseils, qui m’ont dit de ne rien lâcher. Ça arrive à tout le monde. J’aurai d’autres moments comme ça dans ma carrière. Quand on a des gens qui poussent autour de soi, on essaie de leur rendre et de donner le meilleur de soi-même. (…) J’essaie d’être toujours la même personne, donner le meilleur de moi-même, faire tous les efforts possibles, mais ça passe par du travail à l’entraînement, rester au Campus, faire des choses en plus. J’essaie d’être le plus en confiance et de retrouver l’insouciance de la première saison.»
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Passer la publicitéPriorité à la Ligue des champions : «Je ne dirais pas qu’il y a une compétition à prioriser. Le PSG veut tout jouer, tout gagner. Il faut prendre tous les matchs de la même manière. Ça passe par cette envie de toujours faire du mieux possible.»
Je n’ai pas lâché.
Warren Zaïre-Emery
Ce qu’il a appris sur lui : «Un peu de tout… Je me suis recentré sur moi-même. J’ai continué à travailler, je n’ai pas lâché. Maintenant que c’est mieux, je continue à faire la même chose. Mon entourage m’a parlé, donné de la confiance. Le coach et mes coéquipiers me poussent et veulent voir la meilleure version de moi-même. C’est ce que j’essaie de faire au quotidien.»
Le retour des blessés : «Ça fait toujours du bien de récupérer du monde dans le groupe, surtout les cadres, comme Ousmane et Marqui… Notre capitaine est formidable, il donne de la voix. Mais encore une fois, c’est un plus de retrouver tout le monde. C’est le collectif qui fait cette équipe. Qu’ils soient là ou pas, le coach aurait fait de la même manière, rien n’aurait changé.»
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Willian Pacho absent de la liste des 30 pour le Ballon d’or : «Ce n’est pas une question qu’on s’est posée… C’est un excellent défenseur, il s’est intégré très vite, il n’a fait que de bonnes performances. Il méritait sa place dans les 30 pour le Ballon d’or mais on est contents qu’il soit avec nous.»
Ousmane Dembélé ? C’est le Ballon d’or, on est contents et fiers de le retrouver.
Warren Zaïre-Emery
Le retour d’Ousmane Dembélé : «Comme Marqui. C’est un leader. Même si ce n’est pas quelqu’un qui parle beaucoup, mais les gens le regardent, c’est naturel chez lui. On est contents qu’ils reviennent. C’est le Ballon d’or, on est contents et fiers de le retrouver. On sait qu’il aidera l’équipe.»
Passer la publicitéLes titis qui montent et son rôle par rapport à eux : «Mon rôle n’a pas changé, je suis resté le même. On est tous très contents de voir ces jeunes monter. Le coach est là pour eux, nous aussi. Mais pour ma part, j’essaie de montrer l’exemple au quotidien, travailler après les séances, avant, donner le meilleur de moi-même. Quand on a un jeune qui sort du centre, on essaie de suivre l’exemple. Quand j’étais jeune, je regardais les autres, comme Presnel (Kimpembe), je l’ai fait naturellement, c’est bien, ça va toujours nous apporter.»
Propos recueillis en conférence de presse