CHRONIQUE- En Grande-Bretagne, les manifestations radicales attirent toujours plus de seniors. A contrario, en France, les retraités demeurent un pilier du bloc central. Cela pourrait-il changer ?
RÉCIT - Des milliers de militants se préparent au blocage sur des groupes de messagerie Telegram. Entre revendications ultra-radicales et appels à faire «tomber le régime», les rares voix discordantes sont aussitôt expulsées des discussions.
À force de promesses non tenues, d’incapacité à décider et de paroles en l’air sur tous les fronts, la défiance et le rejet se sont amplifiés.
L’association présidée par Alexandre Jardin fait sa rentrée avec des débats publics prévus partout en France contre le doublement de la facture d’électricité. Le premier a lieu ce vendredi sur le stand de la Coordination rurale, dans la Marne.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Le slogan qui appelle à une mobilisation le 10 septembre recèle des marques sémantiques révélatrices des intentions aussi vagues que radicales de leurs auteurs, analyse le politiste Paul Bacot.
DÉCRYPTAGE - Contre le plan d’austérité annoncé mi-juillet par François Bayrou, un appel à la paralysie du pays est lancé sur les réseaux sociaux avec un slogan : « Bloquons tout ».
DÉCRYPTAGE - Face à ces échéances à risques, le ministre de l’Intérieur et le préfet de police de Paris ont validé un dispositif robuste. Près de 11.500 policiers et gendarmes seront déployés dans la capitale.
Près de 300 coiffeurs venus de toute la France ont manifesté ce lundi 30 juin place de la Bastille contre la concurrence jugée «déloyale» des «barbershops», qui se multiplient dans le pays.
La place de la république était noire de monde ce samedi lors de la mobilisation en soutien aux Palestiniens. L’eurodéputée LFI Rima Hassan, membre de l’équipage du Madleen arraisonné par l’armée israélienne en début de semaine, a été acclamée.
Le président américain a décidé de déployer des troupes militaires face aux militants qui se mobilisent contre sa politique migratoire. Mais un juge fédéral a estimé, ce jeudi, que la prise de contrôle de la Garde nationale était «illégale».