TRIBUNE - Le ministre de l’Intérieur a lancé une nouvelle campagne ciblant, non plus les dealers, mais les 6 à 7 millions de «drogués» en France. Une démarche courageuse qui permet de sortir de la culture déresponsabilisante qui prédominait jusqu’alors, estime l’essayiste.
ENQUÊTE - Andrew Tate, Thaïs d’Escufon, «Redpills» : sur Internet, on trouve de plus en plus d’influenceurs promouvant des discours misogynes. On appelle «masculinisme» ce mouvement, mais ce terme fourre-tout ne permet pas de régler le mal à la racine.
ENTRETIEN - L’essayiste consacre une étude aux bars-tabacs, ces petits commerces omniprésents à travers la France. Face à la concurrence des coffee shops et à la diversification des modes de consommation, ces espaces conviviaux sont devenus une sorte de refuge de la France populaire, analyse-t-il.
Le président des États-Unis a adopté la logique prédatrice de Vladimir Poutine dans laquelle la souveraineté des grandes puissances prime sur celle de leurs voisins.
Les acronymes hostiles DPE, ZFE, découragent même les maires de gauche... Fort heureusement, le réel, petit à petit, reprend ses droits. L’Europe déconstruit la cathédrale technocratique qu’elle avait échafaudée.
Enfumage, bidouillage, bricolage, tout l’arsenal politicien a été mis à contribution pour un résultat qui ne satisfait au fond personne, ni les élus, ni les citoyens.
Grâce à ses efforts depuis plus d’une décennie, l’Espagne a divisé son taux de chômage par près de trois, a redressé ses comptes publics en taillant dans ses dépenses et est devenue championne européenne de la croissance.