Invitée du journal télévisé de TF1, la présidente du groupe RN à l’Assemblée nationale a estimé que «ce n’est pas la justiciable qui est jugée, mais la cible politique».
Le militant propalestinien avait été jugé en octobre pour provocation publique à la haine après avoir appelé des manifestants à «mener l’intifada» à Paris.
En annonçant avoir trouvé un accord en faveur des retraités, le chef des députés LR a braqué le camp Macron, qui veut pour sa part obtenir le maintien en l’état des exonérations de cotisations patronales.
RÉCIT - Frustrés de devoir partager leur pouvoir avec LR, agacés par la tournure des débats sur le budget et désorientés par le manque de perspectives, les soutiens d’Emmanuel Macron désertent de plus en plus l’Hémicycle. Au risque de laisser le champ libre à la gauche et au RN.
TRIBUNE - À l’occasion de la Journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire, Gabriel Attal fonde l'association «Faire face», avec Elian Potier et Béatrice Le Blay, mère de Nicolas, élève harcelé qui s'est donné la mort en septembre 2023.
ANALYSE - Désormais soutenu par Élisabeth Borne, Gabriel Attal se prépare à une élection sans concurrent. Une quasi-constante depuis la création de la formation macroniste, qui le différencie de LR et du PS.
BAROMÈTRE FIGARO MAGAZINE - La cote de confiance du président de la République chute de 5 points et tombe à 17 %, selon le baromètre réalisé par Vérian-Epoka.
CONTRE-POINT - Faute de parvenir à s’entendre, la coalition au pouvoir a offert une vice-présidence et une présidence de commission à la gauche. Ce résultat dévoile la faiblesse du «socle commun» fait de gens qui ne cherchent pas à travailler en bonne intelligence.
DÉCRYPTAGE - Mis en place à la rentrée 2024 en sixième et en cinquième, les groupes «de besoins» en français et en maths devaient être étendus aux classes de quatrième et de troisième en septembre 2025. Ce ne sera probablement pas le cas.
DÉCRYPTAGE - En froid avec le chef de l'État, l'ancien premier ministre prépare sa candidature à la tête du parti Renaissance, dont il veut faire un instrument au service de son ambition présidentielle.
CONTRE-POINT - Le favori de la compétition pour prendre la tête du parti est suspecté par des macronistes historiques de vouloir «effacer» son fondateur.