Retour aux fondamentaux. Le sport. Et surtout les Jeux olympiques. «Le» rendez-vous qui compte en 2024. Secouée comme dans une mêlée de rugby dès sa prise de fonction au ministère de l’Éducation, après des propos qu’elle a reconnus «maladroits» et «erronés» sur la scolarité de ses enfants au collège Stanislas, Amélie Oudéa-Castéra a donc été priée de rendre son tablier de la Rue de Grenelle mais a sauvé, entre guillemets, son maillot des Sports et des JO.
Pas de quoi sûrement la réjouir, connaissant la détermination de l’ancienne championne de tennis passée par Sciences Po, l’ENA et de grandes entreprises comme Axa et Carrefour. Et il a sûrement fallu que son camarade de promotion à l’ENA, qui n’est autre que le président de la République, intervienne pour qu’elle accepte de regrimper dans les étages supérieurs du «petit» ministère des Sports (en tout cas aux yeux de bon nombre d’hommes politiques français qui n’ont toujours pas compris l’importance du sport dans notre société, au contraire…