La colère froide d’Alger depuis que Paris a choisi Rabat
DÉCRYPTAGE - Le 70e anniversaire du déclenchement de la guerre d’Algérie risque d’être encore plus amer que les précédents, après la visite d’Emmanuel Macron au Maroc.
DÉCRYPTAGE - Le 70e anniversaire du déclenchement de la guerre d’Algérie risque d’être encore plus amer que les précédents, après la visite d’Emmanuel Macron au Maroc.
TRIBUNE - Alors qu’Alger célèbre le 1er novembre les 70 ans du début de la guerre d’Algérie, l’instrumentalisation de la mémoire n’a jamais été aussi importante, analyse l’ancien ambassadeur*.
GRAND RÉCIT- Voilà 70 ans, le 1er novembre 1954, commençait la guerre d’Algérie. Le début d’un conflit très violent et complexe de plus de sept ans qui allait opposer l’armée française et le FLN, doublée d’une guerre civile entre Algériens et de profonds déchirements entre Français.
Le président de la République, qui a longtemps privilégié l’Algérie, effectue, à compter de lundi, sa première visite d’État au Maroc, laquelle apparaît comme un changement de cap de la France au Maghreb.
Il y a soixante-dix ans, à la Toussaint 1954, commençait la guerre d'Algérie, tragique affrontement qui devait s'achever en 1962. Plus de soixante ans après l'indépendance, les relations entre les deux pays restent conflictuelles.
L'attaque rappelle celle menée en 2014 contre le ressortissant français Hervé Gourdel. Dans le sud désertique, la menace terroriste islamiste demeure même si elle est moindre depuis les années 1990.
De plus en plus de Français d’origine algérienne partent au pays de leurs aînés pour y établir une entreprise. Beaucoup sont déçus par cette «Algérie idéalisée».
Le 27e Salon international du livre d'Alger (Sila) doit se tenir du 6 au 16 novembre 2024. En cause, la présence sur les stands du salon du dernier roman de Kamel Daoud, Houris, publié en août.
DÉCRYPTAGE - La justice française doit se prononcer mercredi sur la demande d’extradition, visant l’ancien ministre algérien, réclamée par le président Tebboune.
TRIBUNE - Le taux d’exécution des OQTF visant des ressortissants algériens est de l’ordre de 7 %, pourcentage particulièrement bas depuis la dernière crise diplomatique franco-algérienne, note Xavier Driencourt, ancien ambassadeur de France en Algérie.