DÉCRYPTAGE - Les exactions commises dans la nuit de lundi à mardi, sur fond de réforme contestée par les indépendantistes, font craindre au gouvernement un cycle de violences.
Alors qu’elle avait laissé sous-entendre être intéressée par une confrontation avant les élections de juin, Marine Le Pen trouve «très utile» de débattre avec Emmanuel Macron, mais «en septembre», après les élections.