Vingt-deux ans après le phénomène Da Vinci Code et huit ans après son dernier titre, le romancier américain reviendra en librairie le 9 septembre prochain pour son nouveau livre intitulé Le Secret des secrets.
DÉCRYPTAGE - Certains éditeurs claironnent qu’ils vont lancer une collection de ce genre si populaire, comme s’ils avaient enfin compris l’ampleur du mouvement. Sauf qu’ils ont cinq années de retard. Le phénomène est déjà ancien…
La manifestation s’est ouverte ce mercredi sur une vive polémique. 9e Art+, l’entreprise organisatrice de ce grand rendez-vous annuel, est sur la sellette. Selon une enquête de L’Humanité Dimanche, aux pertes financières s’ajouterait un management agressif. Et une salariée y aurait été violée, avant d’être licenciée.
UN HOMME, UNE VOIX - Auteur d’une centaine de livres, dont plus de cinquante romans, l’écrivain ajoute à son œuvre une tragédie en prose qui peut se lire comme une pièce de théâtre classique.
CHRONIQUE - On prévient les amateurs de «feel good books» : passez votre chemin. Esther Teillard est le contraire exact de Valérie Perrin. Sa prose est violente, son histoire est dure, mais Carnes est LE premier roman qui décoiffe cette rentrée hivernale.
LA CHRONIQUE D’ÉTIENNE DE MONTETY - Il est bel et bien question du père de la tragédie française dans ce roman. Si la hache est l’arme du crime qui y est perpétré, le scalpel est l’outil de l’auteur.
PORTRAIT - L’auteur publie ce mois-ci «Mauvais élève». Un récit authentique dans lequel il revient sur son passé de prolétaire et notamment, sa relation passionnelle avec la lauréate du Nobel de littérature.
UN HOMME, UNE VOIX -Les Lettres qataries, nouvel ouvrage de l’écrivain, est une variation actualisée autour des Lettres persanes. C’est toujours drôle, parfois désopilant, souvent cruel.
PORTRAIT - L’américaine publie un étonnant roman situé dans le sud-ouest de la France au sein d’une communauté écologiste infiltrée par un ex-agent du FBI. Brillant.
CRITIQUE - Attaché à une histoire qui le passionne, Jacques de Saint Victor ne se prive d’aucun détail pittoresque dans sa restitution d’un « romanzo criminale » qui a commencé dans le sud de l’Italie il y a deux siècles et s’est poursuivi tout autour du monde.