Une étude canadienne révèle une accumulation plus rapide de protéine tau chez les femmes, qui pourrait expliquer en partie pourquoi elles sont plus nombreuses à être atteintes de cette maladie dégénérative.
DÉCRYPTAGE - L’immense majorité des médicaments ne passe pas la barrière hématoencéphalique, ce qui fait du cerveau l’un des organes les plus difficiles à soigner. Mais une technique est en développement.
Une étude qui a suivi plus de 100 000 personnes sur quatre décennies a identifié que les plus gros mangeurs de charcuterie avaient un risque de démence accru de 13 %.
DÉCRYPTAGE - Aux côtés du CEA, le centre de recherche Clinatec espère soigner de multiples pathologies cérébrales et cardiovasculaires grâce à la photobiomodulation, une approche basée sur des stimulations lumineuses dans l’infrarouge.
Le traitement, commercialisé sous le nom de Leqembi, est désormais recommandé par l’EMA pour des patients n’ayant pas encore atteint un stade avancé de la maladie.
Ces troubles sont fréquents chez les personnes atteintes d'Alzheimer ou d’autres démences. Pour les atténuer, il existe des interventions non médicamenteuses qui ont fait leurs preuves.
DÉCRYPTAGE - Des preuves croissantes suggèrent qu’au-delà du traitement du diabète et de l’obésité les effets thérapeutiques des agonistes du GLP-1 tels que l’Ozempic ou le Wegovy pourraient s’étendre à bien d’autres pathologies.
Les troubles visuels sont désormais un facteur de risque établi de la démence, dont la maladie d’Alzheimer représente 70 % des cas. Il existe pourtant des solutions pour mieux les traiter à temps.
PSYCHOLOGIE - Même si les malades atteints de cette démence perdent la mémoire immédiate, ils restent accessibles à une relation riche avec leurs proches et leurs aidants.
Si cette maladie neurodégénérative est en partie génétique, son apparition est aussi très influencée par les modes de vie et la santé cardiovasculaire, explique le Dr Nicolas Villain, neurologue.