PSG : mêmes causes, mêmes effets

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PSG : mêmes causes, mêmes effets

Luis Enrique n’a pas su trouver les mots pour libérer ses joueurs avant la mi-temps et surtout le but de Kylian Mbappé, mercredi, face à la Real Sociedad. REUTERS / SARAH MEYSSONNIER

HUMEUR – Malgré la positive attitude de Luis Enrique, le PSG a (encore) failli dans l'approche d'un match de Ligue des champions mercredi.

«C'est comme si notre vie en dépendait». Que ce soit après le match contre Lille (3-1) samedi dernier ou avant et après celui de la Real Sociedad (2-0), Luis Enrique a tenté de prêcher la bonne parole et de distiller la positive attitude dans l'esprit des journalistes, des fans et… de ses joueurs. En substance, la Ligue des champions est une fête, il faut profiter et pas avoir peur. «Il n'arrivera rien si on perd», martèle-t-il, tentant de dédramatiser les choses et de faire baisser la pression XXL qui pèse sur les épaules parisiennes à l'approche des matches couperets en C1. Raté. Ses joueurs ont d’abord brillé par leur timidité, leur fébrilité et leur manque de répondant mercredi, en 8es de finale aller, avant de prendre les rênes et de l’emporter. «On aurait pu mettre un peu plus de personnalité», a glissé Kylian Mbappé avec pudeur, évoquant «l'apprentissage» de son équipe. Sauf que ce problème ne date pas d'hier. Une constante à Paris, même si certains manques bien identifiés sont ressortis…

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