Présidentielle américaine: à Dearborn, la communauté arabe menace de «punir» Kamala Harris

DES DEUX CÔTÉS DE L’ATLANTIQUE (1/3) - Comme tous les quatre ans, la campagne présidentielle américaine intrigue par ses méthodes de communication, qui rejaillissent souvent sur nos prétendants à l'Élysée. À commencer par Valéry Giscard D’Estaing, qui reprend au milieu des années 1970 les codes politiques installés outre-Atlantique.

DÉCRYPTAGE - Derrière cette expression qu’il a prononcée, J.D Vance, le colistier de Trump, veut mettre en avant le modèle de la famille traditionnelle, provoquant l’ire du camp démocrate. Et quelques critiques dans les rangs républicains.

FIG DATA – Les «petits candidats» sont souvent accusés d’être des «spoilers», des perturbateurs n’ayant aucune chance d’être élus. Plusieurs barrières politiques ont même été érigées pour qu’ils se conforment à ce rôle.

DÉCRYPTAGE - Les équipes de Kamala Harris et celles de Donald Trump rivalisent d’imagination pour dépenser les fonds, qui coulent à flots.

ENTRETIEN - En difficulté sur les enjeux économique et migratoire, Kamala Harris devra aussi unir son camp, profondément divisé sur la question raciale, pour éviter qu’un scénario similaire à celui de 2016 ne se reproduise, analyse Jean-Éric-Branaa, auteur d’un livre sur la vice-présidente américaine.

DÉCRYPTAGE - Pour détricoter le narratif d'une candidate démocrate proche du peuple, le leader des républicains n'hésite pas à remettre en cause des éléments clés de son histoire. Quitte à relayer des théories déjà contredites.