«La loi coranique, première menace pour l’État de droit en France»

L’État dit «de droit» a la conscience tranquille. Par l’entremise du Conseil constitutionnel, il a balayé, jeudi après-midi, la volonté référendaire des Républicains sur la politique migratoire. Quelques mois plus tôt, il avait nettoyé la loi de ce qui pouvait ressembler à la moindre politique de fermeté. Encore une fois, comme il le fait depuis des décennies dans les lois, les discours, les règlements, les jurisprudences, les proclamations, les intimidations sociales, politiques, culturelles, le gouvernement des juges encourage la poursuite d’une politique qui se prétend humaniste et qui est pourtant criminelle.

Le décor Potemkine de la France du vivre-ensemble, cette vie rêvée des lofts de centre-ville, s’effondre devant nous et dévoile une réalité épouvantable, inimaginable il y a encore quelques années. En une semaine, des enfants venus d’ici ou d’ailleurs ont été frappés, parfois jusqu’à la mort, par une violence archaïque et islamisée. Samara lynchée pour une tenue «à l’européenne»

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