L’éditorial d’Yves Thréard : «Rave party dans l’Aude, l’État de droit piétiné»
Comment imaginer que plus de 2000 fêtards viennent danser sur un terrain meurtri par un gigantesque incendie, au nez et à la barbe de son voisinage ?
Comment imaginer que plus de 2000 fêtards viennent danser sur un terrain meurtri par un gigantesque incendie, au nez et à la barbe de son voisinage ?
ENTRETIEN - Au cœur des Corbières, la rave party illégale organisée sur des terres ravagées par les flammes a mis le feu aux poudres. Menaces avec armes à feu, affrontements : le maire de Fontjoncouse, Christophe Tena, raconte les heures tendues vécues par son village de l’Aude.
Chaque jour, la rédaction Le Figaro Live vous partage les vidéos les plus marquantes pour suivre l’actualité ainsi que ses émissions quotidiennes, et ceci, en quelques clics seulement.
Ne voulant pas subir d’éventuels débordements de fêtards pendant cinq jours, les paysans ont stoppé l’implantation d’un teknival illégal par leurs propres moyens.
ENQUÊTE - Une semaine après la «free party» qui a rassemblé 2400 personnes à Lieuron, Le Figaro se penche sur la question des soirées illégales, qui attirent un nouveau public depuis le début de la pandémie.
TRIBUNE - La faiblesse de l’État face à la «rave party» près de Rennes est un indice supplémentaire de sa propension à être pusillanime face aux groupes violents. Or, les Français respectueux des lois ne le supportent plus, argumente l’avocat et essayiste, Thibault de Montbrial.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Une fête clandestine a eu lieu à Lieuron pendant plus de 24 heures. La gendarmerie a été violemment prise à partie par les fêtards et n’a pas pu intervenir tout de suite. Pour le délégué général de l’Institut pour la Justice Pierre-Marie Sève, un tel affaissement de l’autorité de l’État ne pourra pas être supporté éternellement par les Français.
ENQUÊTE - Ces fêtes illégales, où de multiples infractions sont constatées, mobilisent l'attention des services de gendarmerie.
RÉCIT - Dix mille fêtards se sont installés illégalement dans le Parc national des Cévennes. Les éleveurs locaux, déjà éprouvés par la sécheresse, ne décolèrent pas.
VIDÉO - Mieux vaut tard que jamais. À presque 80 ans, la correspondante de La République du Centre s'est rendue pour la première fois à une rave party sauvage à Ousson-sur-Loir. Elle raconte avec émotion et humour sa rencontre avec les jeunes teufeurs.