FIGAROVOX/TRIBUNE - Pour Alain Destexhe, chercheur au Gatestone Institute (think-tank conservateur américain), Kamala Harris pourrait remettre en cause certains principes démocratiques si elle était élue, comme la liberté d’expression ou la transparence du processus électoral.
SONDAGE - Emmanuel Macron n'est qu'à mi-mandat, mais les politiques ont tous la tête tournée vers la prochaine présidentielle. L'enquête Ifop-Fiducial montre qu'Édouard Philippe et Gabriel Attal sont les mieux placés aujourd'hui pour espérer contrer Marine Le Pen.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Le 7 septembre dernier, le président sortant Abdelmadjid Tebboune a été réélu avec près de 95% des suffrages. Un score invraisemblable auquel s’est ajoutée une confusion dans les chiffres sur le taux de participation, pointe le diplomate Xavier Driencourt.
CONTRE-POINT - En se déclarant dès maintenant officiellement candidat à la présidentielle et en envisageant même une élection anticipée, le maire du Havre accrédite l’idée que le chef de l’État n’a plus les moyens de relancer son mandat.
Pour le professeur Benjamin Chemouni, le score de 99,15% obtenu par le président sortant, à la fois homme providence et dictateur, doit être analysé à l’aune du passé douloureux des Rwandais où, jusqu’au génocide de 1994, les élections libres ont toujours dégénéré en violences ethniques.
DÉCRYPTAGE - La situation confuse à l'Assemblée nationale pourrait faire le jeu du parti nationaliste pour la prochaine présidentielle, à certaines conditions.
DÉCRYPTAGE - Le pouvoir a validé les candidatures d’un réformateur et d’un conservateur pragmatique dans l’espoir d’attirer les électeurs ce vendredi.
ANALYSE - Pour Paris, l’arrivée au pouvoir de Bassirou Diomaye Faye n’est pas forcément une mauvaise nouvelle. Elle pourrait même devenir une opportunité pour relancer une relation France-Afrique au plus mal.
BIBLIOTHÈQUE DES ESSAIS - Nos dirigeants politiques, qui vivent au rythme incessant des chaînes d’information en continu et du smartphone des citoyens ne sont plus que des Gulliver empêtrés, explique Philippe Guibert dans son nouvel essai. Et dans cette nouvelle ère, le style populiste devient la règle.
Dans les bureaux de vote de Paris, Marseille et Villefranche-sur-Mer, le pseudo-opposant libéral Vladislav Davankov a obtenu un nombre de voix très proche du président réélu. Environ 15% des électeurs ont détruit leur bulletin de vote.