Lorsque l’intelligence artificielle se piquera de voler dans les plumes de la critique gastronomique (ce qui ne devrait ni tarder, ni être trop compliqué), peu de chance que celle-ci mouline à raconter les restos italiens, les vrais, les faux, les demis, les similis, les réels ou prétendus tels. Vu la cadence soutenue des ouvertures, les mets qu’on y sert sont à peu près aussi rabâchés que les mots pour les dire.
En le découvrant donc à son tour verser vers l’Italie, on se demandait bien comment Greg Marchand allait s’en sortir après quinze si courtes années à plutôt nous habituer à le suivre au rang des éclaireurs - parmi les premiers de la bistronomie au Frenchie, de la vigne contemporaine au Frenchie bar à vin et de la street food au Frenchie To Go. Allait-il, lui aussi, verser du côté obscur de la désormais farce transalpine?
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