DIRECT. Guerre en Ukraine : Donald Trump estime que Vladimir Poutine "a les cartes en main" dans les négociations
• Direct Guerre en Ukraine : Donald Trump estime que Vladimir Poutine "a les cartes en main" dans les négociations
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Ce qu'il faut savoir
Le président américain Donald Trump a affirmé, mercredi 19 février, que Moscou avait les "cartes en main" dans les négociations pour tenter de mettre fin à la guerre en Ukraine, entamant un peu plus l'espoir de Kiev de voir Washington défendre ses intérêts. En plein rapprochement avec le Kremlin, le président américain s'est lancé dans une passe d'armes avec Volodymyr Zelensky au cours des dernières 48 heures. Les Russes "ont pris beaucoup de territoires, donc ils ont les cartes en main", a souligné le dirigeant américain, qui envisage une rencontre prochaine avec son homologue russe Vladimir Poutine. Suivez notre direct.
Donald Trump qualifie Volodymy Zelensky de "dictateur". Le mandat du président ukrainien, élu en 2019, aurait dû expirer en mai 2024, mais l'Ukraine n'a pas organisé d'élections du fait de la guerre et de la loi martiale. "Dictateur sans élections, Zelensky devrait se dépêcher ou il ne va pas lui rester de pays", a déclaré Donald Trump sur sa plateforme Truth Social, mercredi. "J'adore l'Ukraine, mais Zelensky a fait un boulot épouvantable."
Le président ukrainien rencontre l'émissaire américain jeudi. Le président ukrainien doit recevoir jeudi à Kiev Keith Kellogg, envoyé spécial pour l'Ukraine. Malgré les tensions avec son homologue américain, Volodymyr Zelensky dit espérer un travail "constructif" avec l'émissaire américain. "Notre avenir n'est pas avec Poutine, mais avec la paix. Et c'est un choix pour tout le monde – et pour les plus puissants – d'être avec Poutine, ou d'être avec la paix", a-t-il affirmé mercredi soir. A son arrivée à Kiev, Keith Kellogg a affirmé comprendre le besoin de "garanties de sécurité" de l'Ukraine.
Emmanuel Macron attendu à la Maison Blanche "dès lundi peut-être". Donald Trump a confirmé mercredi soir la venue à Washington dès "lundi peut-être", de son homologue français Emmanuel Macron. La guerre en Ukraine devrait être au cœur des discussions, alors que Washington a lancé des pourparlers directs avec la Russie, sans inclure ses alliés européens.
Le Live
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franceinfoIl y a 0 sec#UKRAINE Toujours pour évoquer le dossier ukrainien, Emmanuel Macron doit se rendre à la Maison Blanche dans les jours qui suivent. Si l'Elysée n'a pas donné d'éléments sur le calendrier de cette possible rencontre avec le président américain Donald Trump, ce dernier a déclaré cette nuit qu'il verrait le président français "très bientôt, lundi peut-être".
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franceinfoIl y a 0 sec#UKRAINE #POLITIQUE Emmanuel Macron reçoit ce matin les chefs de partis pour faire le point sur la situation en Ukraine et les efforts supplémentaires de défense à fournir. A gauche, Manuel Bompard (LFI), Fabien Roussel (PCF), Marine Tondelier (Ecologistes), Olivier Faure (PS) et Guillaume Lacroix (Parti radical de gauche) ont fait savoir qu'ils se rendraient à 11 heures à l'Elysée. Gabriel Attal (Renaissance) et Marc Fesneau (MoDem) sont également attendus, tandis que Louis Aliot représentera le Rassemblement national.
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le point sur l'actuIl y a 0 secVoici un premier point sur ce qu'il faut retenir de l'actualité :• #UKRAINE Les Russes "ont pris beaucoup de territoires, donc ils ont les cartes en main" dans les négociations pour tenter de mettre fin à la guerre en Ukraine, a estimé cette nuit le président américain Donald Trump. Ces propos interviennent alors que que le président ukrainien Volodymyr Zelensky doit recevoir aujourd'hui à Kiev l'envoyé spécial américain Keith Kellogg.• #AGRICULTURE L'Assemblée a adopté largement hier soir le projet de loi d'orientation agricole avant un dernier vote aujourd'hui au Sénat. Le texte a été approuvé par 369 voix contre 160, avec le soutien du camp présidentiel, de la droite de l'alliance RN-UDR et des indépendants de Liot. La gauche s'y est largement opposé, dénonçant à plusieurs reprises une loi de régression environnementale.• #IRAN Au moins 975 personnes ont été exécutées en Iran en 2024, une "escalade effroyable" du recours à la peine de mort comme moyen de "répression politique" par la République islamique, dénonce un rapport commun des organisations Iran Human Rights (IHR), basée en Norvège, et d'Ensemble contre la peine de mort.• #PFAS L'Assemblée devrait approuver définitivement aujourd'hui une proposition de loi écologiste restreignant la fabrication et la vente de produits contenant des PFAS, ces "polluants éternels" massivement présents dans la vie courante, dont l'impact sur la santé inquiète l'opinion et les pouvoirs publics.
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