Feux d'artifices : les drones font le spectacle

Ce texte correspond à une partie de la retranscription du reportage ci-dessus. Cliquez sur la vidéo pour la regarder en intégralité.

23 heures, la magie commence. La Dame de fer s'illumine pour un feu d'artifice qui met à l'honneur le Brésil. Puis, sur les Quatre Saisons de Vivaldi, les 10 ans de l'accord de Paris sur le climat.

Aux abords de la Tour Eiffel, près de 60 000 personnes, attirées par la promesse d'un feu d'artifice original grâce à plus d'un millier de drones, une première en Europe.

Tana espère y découvrir ses créatures préférées : "Des sirènes, des ours ?"

Pas d'ours, mais une girafe, une baleine, un éléphant et un gigantesque oiseau de feu dans le ciel parisien.

Un spectateur admire le spectacle grandiose : "C'est très joli. Avec, en plus, les vrais feux d'artifice qui rajoutent du bruit et des scintillements partout, non, c'est très joli."

Un spectacle d'un nouveau genre

Magnifiée par les drones, la scène est saisissante. Sa langueur a laissé place au rythme endiablé de ces deux danseurs artificiels au son de la samba brésilienne. Les drones continuent à assurer le spectacle et, pour célébrer la fête nationale, Dame Marianne n'est jamais très loin, épaulée par France Gall.

Liberté, égalité, fraternité, la devise scelle l'alliance des drones et du feu pyrotechnique dans un bouquet final éblouissant. Le show a rempli ses promesses.