Quand Eugénie Bastié « enquête » sur le monde, c’est la désinformation qui triomphe

Insinuer, salir, discréditer. La méthode est éprouvée par les régimes autoritaires pour bâillonner les voix libres. Elle est désormais recyclée dans nos vacillantes démocraties par l’extrême droite pour mettre en pièces des journalistes, jeter leur nom à la vindicte, susciter des réflexes d’autocensure.

Dans un article cousu de mensonges, d’allusions et de propos diffamatoires, la polémiste du Figaro Eugénie Bastié porte sur le Monde des accusations qui passeraient pour comiques si elles n’obéissaient pas à ce dessein politique. Cette chroniqueuse passée par Causeur reproche au quotidien vespéral de « prendre ouvertement le parti des Palestiniens ».

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