Un bureau dans une caravane: cette success-story de l’art équestre accueille 300.000 visiteurs par an en plein Paris

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Firmin Gruss : «Je me considère d’abord comme un artiste à cheval et un équilibriste aérien.» François Bouchon / Le Figaro

UNE HEURE DANS LE BUREAU - Chaque lundi, un dirigeant ouvre sa porte au Figaro. C’est au tour de Firmin Gruss, patron des Folies Gruss.

Derrière la porte de Passy et le boulevard périphérique, sur les bords du lac supérieur du bois de Boulogne, se dresse une entreprise peu commune. La grande porte d’entrée en arc de cercle ne passe pas inaperçue : « Bienvenue aux Folies Gruss », y lit-on. Sur les façades, une exposition de photographies de Yann Arthus-Bertrand consacrée au monde équestre : celui de la famille Gruss, dont le nouveau spectacle — une prouesse aérienne et musicale — met en scène quinze membres de la famille. C’est le cinquantième.

Hors du temps

Le hall d’entrée et ses parois bleu roi n’évoquent pas les couleurs traditionnelles du cirque. Le mot n’est d’ailleurs plus utilisé chez les Gruss. Un vestiaire, un espace de restauration, un bar, un accès vers la scène et les écuries qui accueillent 50 chevaux. Dans un autre coin du hall, une petite sortie mène à une caravane blanche : le bureau de Firmin Gruss. Il en a hérité de son père, Alexis, décédé en avril 2024. Le dirigeant…

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