L’aile gauche de la macronie tente de peser après la nomination de Michel Barnier

Réservé aux abonnés
Olivier Dussopt, président de Territoires de progrès (TDP), et Agnès Pannier-Runacher, présidente du conseil national de TDP. François Bouchon / Le Figaro

REPORTAGE - Réunie ce samedi à Châtillon (Hauts-de-Seine) par le parti Territoires de Progrès, l’aile gauche de la macronie a indiqué n’avoir «aucune volonté de blocage» sans toutefois promettre un «soutien inconditionnel» au gouvernement de Michel Barnier.

Cadençant chaque intervention, le mot «progrès» a résonné toute la journée durant, dans la salle de réception de l’Espace Maison Blanche, à Châtillon (Hauts-de-Seine), où se tenait ce samedi le «rendez-vous des démocrates et progressistes» organisé par Territoires de Progrès (TDP). L’occasion pour le petit parti social-démocrate, fondé en 2020 par d’anciens socialistes et officiellement associé à Renaissance depuis novembre 2022, de faire le point sur l’avenir de l’aile gauche de la macronie. Une introspection bienvenue alors que les troupes de TDP ont fondu comme neige au soleil sous le coup de la dissolution, passant d’une vingtaine de députés à seulement six, et alors que Michel Barnier, membre des Républicains (LR), vient d’être nommé premier ministre.

«Nous sommes dans une position qui est très simple. Nous sommes dans la famille présidentielle, nous en sommes l’aile gauche, une gauche de gouvernement, a voulu clarifier Olivier Dussopt, ancien ministre…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 81% à découvrir.

Vente Flash

1,99€ par mois pendant 6 mois. Sans engagement.

Déjà abonné ? Connectez-vous