«Le choc du cancer de Kate : la presse britannique en émoi après les révélations de Kate Middleton
«La princesse de Galles a un cancer», titre solennellement le Times ce vendredi 22 mars, quelques minutes seulement après l’annonce de Kate Middleton. Sur son compte Instagram, elle s’adresse à ses fans, leur apprenant la bataille qu’elle mène contre le cancer. Une manière également de rassurer les journaux britanniques, très inquiets de l’absence totale de nouvelles de la Princesse de Galles, et des récentes bourdes commises par son service de communication.
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«Le choc du cancer de Kate»
Tout aussi sobrement, le Daily Mail reprend pour titre les paroles de Kate Middleton, tirées de sa vidéo Instagram : «Kate : J’ai un cancer». Moins sobrement, le tabloïd The Sun reproduit l’onde de choc qu’a causé cette annonce : «Le choc du cancer de Kate». Les titres sont malheureusement très semblables à ceux du 5 février dernier, date de l’annonce du cancer du roi Charles III.
«J’en suis à un stade précoce»
Seul journal à faire un petit pas de côté, The Mirror, qui se focalise sur la maladie de Kate Middleton en elle-même, plus que sur l’annonce avec un titre «Je suis à un stade précoce», précisant qu’elle suit un traitement par chimiothérapie. La princesse de Galles a en effet indiqué suivre un traitement préventif, à cause des traces de cancer retrouvées lors de son opération abdominale.
«Pour une fois dans sa vie, Kate doit prendre soin d’elle»
La réaction de Sarah Vine, chroniqueuse royale spécialiste de la monarchie britannique, ne s’est pas faite attendre. Dans les colonnes du Daily Mail, elle implore quasiment la princesse de Galles de prendre soin d’elle urgemment. Le titre est long mais parlant : «Pour une fois dans sa vie, Kate doit arrêter de s'inquiéter du devoir et de s'occuper de tout le monde et prendre soin d'elle-même». Dans sa courte chronique, Sarah Vine déplore «un coup de massue après l’autre», citant le décès de la reine Elizabeth II, le départ de Harry et Meghan, et le cancer du roi Charles III. «La princesse de Galles ? C'est le rebondissement le plus cruel de tous», écrit-elle. «Non seulement elle est une femme dans la fleur de l'âge, mais elle est aussi mère de trois jeunes enfants, George, dix ans, Charlotte, huit ans, et Louis, cinq ans. Ils seront désormais sa priorité absolue, à la fois pour les protéger de la réaction du public à sa maladie, mais aussi pour les rassurer sur la chose la plus importante de toutes : que maman va aller bien.»