«Habiller la noble simplicité de la liturgie», tel est le «brief» (pour employer le jargon contemporain) donné par le Diocèse de Paris à Jean-Charles de Castelbajac. Ou encore promouvoir à travers les près de 2000 chasubles, étoles et dalmatiques qui seront portés lors des célébrations de la réouverture de Notre-Dame de Paris, une beauté digne et sobre, dont les racines se trouvent dans la simplicité de l'Évangile, conforme à l'enseignement du Concile Vatican II en matière d'art sacré. Ces ornements liturgiques (offerts à la Cathédrale sous forme de mécénat par des maisons d'art et d'artisanat) seront portés tout au long de la période inaugurale qui s'étendra du 7 décembre à la Pentecôte, le 8 juin 2025, puis, dans l'avenir, lors de grandes occasions telles la messe chrismale du Mercredi saint et les ordinations sacerdotales. Pour l'instant, cette paramentique n'existe qu'en croquis que nous ont décryptés Mgr Ribadeau Dumas et Jean-Charles de Castelbajac. Entretien croisé.
LE FIGARO. - Comment…