Résidences secondaires: la coûteuse multiplication des erreurs du fisc sur la taxe d'habitation

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Certains propriétaires auraient reçu un avis de taxe d’habitation sur une résidence secondaire pour… un balcon. Adobe Stock

DÉCRYPTAGE - L’enchaînement des couacs sur la déclaration de biens immobiliers, qui a donné des sueurs froides aux contribuables, a aussi pénalisé les finances publiques.

Cela aurait dû être le mot final d’un chapitre éprouvant pour les propriétaires et les agents de l’administration fiscale. Lancé à la suite du naufrage qu’a été la nouvelle déclaration de biens immobiliers (GMBI) mise en place l’an dernier, le rapport des députés Christine Pires-Beaune (PS) et Robin Reda (Renaissance) sur « les dysfonctionnements dans la gestion des impôts locaux et leurs conséquences » devait être rendu ce mardi. Mais, en raison d’informations récupérées le jour même par la députée socialiste concernant la gestion de la déclaration de biens immobiliers, la publication du rapport a finalement été reportée en urgence. L’affaire n’a donc pas fini de faire des remous.

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